Traefik : Premières Impressions et Retour d’Expérience
Traefik : Retour sur mes premiers pas Si Ansible m’a aidé à déclarer l’état souhaité de mes machines, il me fallait encore un moyen simple et automatique de router le trafic HTTP/HTTPS vers mes différents services (Docker, VMs, bare-metal). Après plusieurs recommandations, j’ai plongé dans Traefik, un reverse-proxy / ingress controller écrit en Go. Pourquoi j’ai choisi Traefik ? Configuration dynamique : Traefik interroge en continu vos providers (Docker, Kubernetes, fichiers…) et met à jour les routes à la volée — fini le nginx -s reload dès qu’un conteneur apparaît. Let’s Encrypt intégré : génération + renouvellement des certificats sans script maison. Tableau de bord clair : on visualise routes, middlewares et points d’entrée en temps réel. Support natif de Docker/K8s : trois labels suffisent pour exposer un service. Mes premières découvertes Installation express docker network create traefik docker compose -f traefik.yml up -d Statique vs dynamique Statique : ports, providers, ACME. Dynamique : règles de routage, middlewares, certificats — modifiables sans redémarrage. ...